Dans toutes les conférences auxquelles nous
avons assisté, il a été question de nature humaine à savoir si celle-ci était
bonne ou mauvaise en soi. Ou encore, tracer la distinction entre la nature et
la culture humaines. Ensuite, dans à peu près toutes les conférences il a été
confirmé que la Terre allait survivre au progrès; qu’en fin de compte, elle
était maitresse de la situation et si la situation ne faisait pas son affaire,
toutes les espèces – humains compris – allaient disparaître. De plus, deux
grands courants de pensée ont fait l’objet de mention, soit la modernité et la
postmodernité. Encore dans quelques présentations, la notion d’anthropocène a fait surface :
autant de façon claire que de façon indirecte. Il m’a semblé que tous les
conférenciers étaient en accord du fait que le progrès a vu le jour en réponse
à la guerre et à l’agriculture. De plus, il semble que tout le monde était
d’avis que nous ne sommes pas totalement victimes du progrès, mais nous en sommes
cocréateur. Notre rôle et notre
fonction d’être humain ont aussi été remis en question : on se demande qui
nous sommes. Les conférenciers se mettent d’accord pour dire que la
surpopulation est un problème, mais que dans beaucoup des sociétés
d’aujourd’hui, ce sujet est tabou. Le bonheur a aussi été mentionné souvent de
sorte que les générations d’aujourd’hui ne savent pas vraiment c’est
quoi : nous avons besoin d’un retour au bonheur.
Finalement, le concept d’un cycle a
beaucoup été mentionné, et ce, sur différents aspects par exemple le climat, la
nature, les différents courants artistiques, et j’en passe. Au début de cours,
je ne pensais pas que les conférences étaient pour avoir des points en commun,
mais étrangement elles en ont eu. Cela prouve simplement que le progrès se
retrouve dans toutes les sphères de notre vie.
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